l’ancien village de Drancy possédait une église primitive, Saint-Germain-l’Auxerrois, construite en 1872 sur un sanctuaire du 12e siècle. Devenue trop exiguë, une nouvelle église la remplace. C’est la plus récente des trois églises drancéennes liées aux chantiers du cardinal Verdier. Elle est composée d’un toit en ardoise et de brique rouge, le bâtiment est réalisé de 1936 à 1939 selon les plans dressés par les architectes Charles-Henri Besnard et Bernadac.
Le choeur est décoré d’une fresque de Rouleau exécutée en 1947 représentant la gloire de sainte Louise de Marillac (1591-1660) fondatrice du premier ordre féminin non cloîtré au service des pauvres.L
Le nouvel édifice est placé sous le vocable de Louise de Marillac (1591-1660), une religieuse ayant œuvré aux côtés de saint Vincent de Paul. Elle est la fondatrice du premier ordre de religieuses non-cloîtrées et voué au service des pauvres. Les sœurs de la Charité sont présentes à Drancy depuis le 19e siècle. Elles étaient chargées du dispensaire, actuellement géré par la Croix-Rouge.
à gauche : Alors âgée de neuf ans, Thérèse, gravement malade « ne trouvant aucun secours sur la terre », se tourne vers sa « Mère du Ciel ». Elle est alors bouleversée par la beauté de la Vierge et surtout par le sourire qu'elle lui adresse : « Ah ! Pensais-je, la sainte Vierge m'a souri, que je suis heureuse … »
au centre : Après la mort de Thérèse, à lêge de 24 ans, l'image de la rose s'est surtout imposée pour symboliser les bienfaits spirituels et les miracles rendus possibles par son intercession. Selon les carmélites qui l'ont connue, Thérèse aurait déclaré peu avant de mourir : « Après ma mort, je ferai tomber une pluie de roses. »
à droite : âgée de deux mois, Thérèse frôle la mort et doit être confiée à une nourrice, Rose Taillé, qui a déjà nourri deux enfants du couple Martin.
à gauche : l'église de Drancy
au centre : Saint ange gardien
à droite : Sainte Louise de Marillac (1591-1660)
