Vers 1051 ou 1052, Guillaume le Bâtard épouse Mathilde de Flandre qui est sa parente au cinquième degré, ce qui est interdit par le droit canonique. Ce mariage est condamné par le pape. Lanfranc de Pavie, de l'abbaye du Bec fait alors la liaison entre le duc et le pape qui lève les sanctions en 1059 contre l'engagement de Guillaume et Mathilde de construire chacun une abbaye.
Vers 1063, Guillaume décide la fondation d'une abbaye bénédictine dédiée à Saint-Étienne.
Le duc confie en 1063 la construction à Lanfranc puis le nomme abbé de Saint-Étienne en 1066 et archevêque de Canterbury en 1070 où il reconstruit la cathédrale de Canterbury détruite par un incendie trois ans auparavant. L'église Saint-Étienne est construite entre 1065 et 10838.
Ce n'est cependant que le deuxième abbé de Saint-Étienne, Guillaume Bonne-Âme qui assiste le 13 septembre 10779 à la dédicace de l'église. La solennité est présidée par l'archevêque Jean d'Avranches, entouré des évêques ses suffragants et d'un grand nombre d'abbés et de seigneurs. Elle a lieu en présence du roi et de la reine Mathilde, de leur fils Robert, de Lanfranc, archevêque de Canterbury et de Thomas, archevêque d'York.
[6] des anges accueillent l'âme de Jean
[5] Saint Jean, assis les mains jointes dans le tombeau éclairé par la lumière divine, attend la mort
[4] Saint Jean boit la coupe empoisonnée, rencontre de Jésus et de Jean
[3] Saint Jean devant le roi
[2] Saint Jean sauve les trois hommes empoisonnés
[1] Saint Jean
[6] Anges
[5] Averti de sa mort prochaine, Jean rassemble les fidèles et les malades
[4] ? , les pierres précieuses broyées sur l'ordre de Craton sont reconstituées par Jean
[3] St Jean réssuscite Drusiane
[2] St Jean est exilé à Pathmos, St Jean écrit l'apocalypse
[1] Saint Jean est plongé dans l'huile bouillante
[5] Le cercueil est transporté dans l'église de Jérusalem où Etienne avait prêché.
[4] La sépulture d'Etienne est découverte par Lucien et l'évêque.
[3] les quatre cercueils
[2] Lors de son sommeil, le prêtre Lucien voit apparaîte Gamaliel qui lui montre quatre corbeilles représentant quatre cercueils : le sien, celui de son neveu Nicomède et de son fils Abibas, et de celui du diacre Etienne. Lucien raconte son rêve à Jean, Evêque de Jérusalem.
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